Klyde Blood-Leaf + Mi-démon mi-humain + Admin
Nombre de messages : 442 Age : 35 Âge : 23ans Alignement : Neutre mauvais // Loyal mauvais Date d'inscription : 07/11/2005
Feuille de personnage Pouvoir/Force: Rapidité // 6e sens // Appel au démon Orientation sexuel: Homo But: Aucun pour le moment
| Sujet: Se que je fais de mes soirées: écrire Mer 22 Oct - 16:46 | |
| J'écris des trucs plein de faute sur toute sorte de chose, donc le forum parfois ( ben les, mais la, c'est le ). Caine ma demandé à lire, donc voila, je commence à le tapper....
Histoire 1
La salle de musique. Son seul repère depuis longtemps. Il y venait s'y mettre à l'abrit souvent. Le piano semblait la gardé et les énormes rideaux cachait la pièce des yeux indiscret. Lorsqu'il entrait, il avait le réflexe de toujours fermer la porte derrière lui, de sorte d'avoir de l'intimité. À l'intérieur, il approchait le grand piano à queue noir. Il luisait doucement dans le noir, les touches blanches à peine jaunit par le temps et le sang était tout aussi douce. Il lui prennait parfois l'envis de s'y assoir et d'y jouer une douce sonate. Le son remplissait la pièce, puis coulait sous la porte, entre les murs et courrait les couloirs pour finir sans le hall et s'évanouir autant dans les chambres que le rez-de-chaussé. Il dépoussièrait parfois les énormes rideaux, le visage dans son foulard, les secouant comme il le pouvait. Il laissait le soleil s'infiltré dans la pièce en ces moments rare. Les rayons léchait les instruments à vent qui se blottissaient dans le fond de la salle, sur le mur. Les lutrins se pousse sur la balustrade proche, voulant tous être utilisé le premier. De biais, on peut voir l'étagère d'instrument à corde. Il on l'air fort et fière. De loin, il regarde chaque pas qu'il fait vers le sofa qui se cache dans le coin, tout comme l'autre qui le cache, plus en avant. Sur les deux amis, un drap les recouvre dans une guerre contre le temps et la poussière. Il lui prend l'envis de retirer le drap du fond. des livres y sont cacher. Il les prend, puis les caches sous les coussins. Un petit oreillé lui souffle de venir dormir. Pas maintenant. Il y reste simplement assit, à regardé son petit monde tout simple. Parfois, il croit voir un jeune homme très bien habillé rentré par la porte, lui faire une courbette depuis le piano pour s'y assoir ensuite. Il entame une mélancolie. On pourrait voir le tout comme dans les premiers temps, beau sutile, ensolleillé. Tout comme la nuit, éclairé au chandelle, au rayon de lune et au étoile. Parfois, c'est une symphonie à lui même. Une sombre mélodie au mémoire des lieux. S'il l'accompagne, la mélodie se transforme en une hymne au souvenir, à la souffrance, au bonheur, au malheur. Quand l'orchestre se pousse pour ajusté leur instrument, leur arracher des cris plaintif et puis, les accompagnes, il les laisse faire. Il retourne à pas léger au sofa, à son sofa, son lit, son refuge. Des danseurs ne se gêne pas à valsé quand la muisque change, à l'inviter et lui à décliner. Après un moment, tout s'éteint, doucement. La magie des danseurs s'estompe, les musiciens calme la frénésie de leur mouvement, le pianiste finit sa partition et se lève. Il lui sourit toujours avant de quitté la pièce, de retourné d'où il vient. La salle retourne à son piètre état. Le plancher salit par un corps qui n'est plus, des chandelles parfois allumé, lui qui sourit au ombre. Sans rien ajouté, il tire quelque couverture caché, se déshabille un peu, s'étent et d'un dernier coup d'oeil, disparait dans les couvertures, s'évadant du petit monde, de la pièce, dans un repos qui l'enmènera dans le même manège lendemain.
~Klyde Blood-Leaf
Histoire 2 Violon en main, il marchait. Il fesait doux, une douce brise fruité, fraîche et d'automne. À chaque pas, à chaque coup d'oeil, le brouillard s'avançait. Une fois le ciel cacher, les étoiles éteinte dans l'endroit toujours sombre, il s'avanca d'entre les tombes. Au loin, des formes flou apparaissaient et disparaîssaient. Une tombe qui semble usée l'acceuille, il s'assit, rien ne bouge. Il dépose l'instrument à son cou, des poussières passe, il l'accorde de bruit désagréable, des oiseaux passe, il tend son archet et le glisse sur les cordes, un bruit sourd sans importance. D'un coup vif, une note, puis deux, un enchaînement qui forme une mélodie. Le bruit se rend de tombe en tombe, des morts au vivant, la musique douce et appaisante, joyeuse et enthousiaste, triste et sombre... On vient s'accoter à son dos. Il reconnait la grandeur, la texture, l'énergie, la personne. Il sourit à travers ça concentration, il ne prononce rien d'autre. Il compose quelques notes en guise de bienvenue, l'autre ne réagit pas, l'oreille à l'affut. Il arrête au beau milieu de la musique, la fesant mourir un moment. Il se retourne à peine, éffleure l'autre, puis sans demander son du, reprend où il a cessé. L'orchestre ne l'accompagne pas cette fois. Il jou cette mélodie au âme pour le plaisir, pour les plaindres, les amuser, leur faire peur. Quand elle finit endin, il dépose l'instrument au bois rouge à ces pieds, comme l'autre poses les siens devant lui. Récompense donné, sourire rendu, message passer, il se lève. Il reprend sa route et le violon adoré. L'autre ne le suit pas, il est parti. Les âmes comme témoins ne disent rien. Qui ils étaient? Tout leur est égale. Les tombes, puis l'entré, puis le ciel qui réaparait doucement, étoile par étoile jusqu'à la prochaine fois. ~Klyde Blood-Leaf
Histoire 3
Un papillon qui pass, un courant d'air, une goute, puis deux, puis trois... Un bruit incessant, des pas, des cris. Une petite mélodie fredonner, des règles transgressé. Un rire, un bruit sourd. Sur les murs rouge éclabousse le même liquide. À chaque pas, une nouvelle victime. Maintenant, un feu. Il détruit les objets précieux, un à un, il les goûte, il les lèche. Un autre corps, un dernier soupir dans un claquement de langue. Un mince filet lui coule sur le menton, aussitôt il l'essuit du revers de ça manche immaculé. Quelqu'un mumure, un autre parle, un autre cri, un autre reste muet, une autre mélodie. Maintenant attacher au mur, tailladé, puis recou, saigné puis guérit, mordu puis licher. Du mauvais au triste, abandonné puis retrouvé. «Qu'aimeriez-vous avoir?». La réponse reste silencieuse. L'esprit réflèchit. «J'aimerais, j'aimerais marchant d'illusion...». Enfin ouvert. Il possède bien sa langue et rejete la mort, donne le pardon. les goutellettes ne cesse de tomber à rythme régulier. L'air se fait parfumer. Il sourit. «D'espoir». La main lever, le corps enfin au sol dans le poussière et les blessures. Il tourne le dos, il lui fait face. Des larmes accompagnent les goutelettes. D'autre pas, un cri, des gémissements. Un bruit mat et chaud. Il les surprend, son cours battant, tout ce qui est vitaux est à sa porter. Il croque le courageux qui cesse de battre. L'autre le suit nu pied, en lambeau, comme une chair qui veut fondre. «J'aimerais...». Il ne cesse de le répèter, comme une poupée de chair molle, bonne pour les poubelles, sans dignité.
Les cris cesse. Il est rassasier, il est fatiguer. Les ombres s'achève bientôt. «Marchant d'illusion...». Lui aussi il achève. le sang ne coule plus. L'eau fait le même bruit sans être humide. Il s'enfonce dans les profondeurs, tout en empêchant de vivre ce qui y réside depuis peu. Sans sang, sans peau, sans muscle, les os brisé, sans système rendit la vie devant les yeux mort. Un sourire qui s'évanoui. «J'aimerais...». Une complainte. Enfin les ombres forme une nuit incessante, son repos. Il y siège sous les regard aveugle. «Compagnie». Un bruit sourd, la chair est tombé sans son aide, l'illusion terminer, le jeu finit, l'arrêt de ce court moment, de l'attente, de la vie. Le début de la mort, du sommeil, du rire, de la soif. Tout ceci, sans qu'il est parlé. Son cadavre dans un coin, comme tout le reste, meurtri, affliger, il ferme les yeux. Enfin, son vaste monde qui s'éteint, qui s'endort, qui se repose.
~Lesl NightRave
Dernière édition par Klyde Blood-Leaf le Ven 7 Nov - 13:40, édité 6 fois | |
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